En ces temps de crise, les médias jouent sur les chiffres, les mots… Il est très facile pour eux de rejeter la faute sur une frange de la population, mettre tout le monde dans le même sac. Les individus simples d'esprits et qui ne prennent pas le temps de réfléchir sur ce que les médias nous propose tombent dans le fatalisme, dans la peur, c'est ce qui risque d'arriver au vu des conjonctures actuelles (la crise). “Les choix douteux” : la montée du populisme que ce soit d'extrême droite ou d'extrême gauche. Ce climat de tension n'offre rien de bon pour l'avenir (“la place est désertique”). Il se passait presque la même chose en 1929, avec la montée des extrêmes qui n'offrit absolument rien de bon les années qui suivirent. Ces individus “affamés” qui croient tout savoir sont prêts à “brûler leurs principes”, c'est à dire à renier les valeurs et les principes républicains.