C'est impossible puisqu'au fond de lui il respecte bien trop la vie
Moi c'est en grandissant à leurs côtés que je suis devenu
Un fervent défenseur en faveur de l'avortement ainsi que de l'euthanasie Klub des Loosers – Sous le signe du V
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Un bel exercice de style qu'une grande partie des écrivains Parisiens du 19ème siècles ont réalisés.
Balzac, Zola, Victor Hugo et sûrement d'autres.
Chanson issue de Roi Sans Carrosse.
La mesure est en 3 temps, c'est -donc- une valse !
Il s'agit d'une métaphore de Paris sous forme d'une personnification.
C'est à dire qu'il lui donne la forme d'une personne, en l’occurrence un monstre peu attirant mais gentil.
Il peut s'agir d'une tapinose puisque Paris est la plus belle ville du monde !
L'originalité des métaphores et de l'angle rendent ce texte plaisant et frais.
Le refrain est mélodieux et nous apporte un “Paname” à peine camouflé.
Le rythme de la chanson est effréné, comme la vie à Paris.
Le troisième couplet se détache puisque le monstre disparaît, on rentre à l’intérieur de Paris en longeant la seine.
Cette chanson montre l'attachement d'Oxmo Puccino à la capitale et ses environs… Elle se rapproche de la chanson Soleil du Nord
On notera que six mois plus tôt la Sexion d'assaut faisait déjà une personnification de la ville lumière dans Paname allons danser, et en plus en trois temps aussi!
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Une belle chanson d'Oxmo Puccino Issue de Roi sans carrosse
Cette chanson parle du deuil et nous apporte au passage une belle leçon de vie.
Il semblerait que l'écriture soit conditionnée par trois étapes distinctes, reliées à des faits psychologiques avérés dans une période de deuil :
Les trois Phases du Deuil :
- la phase de déni ou sidération
- la phase des états dépressifs
- la phase de restructuration
Juste un mioche parmi tant d'autres que tu attends devant la maternelle
Futur contractuel, ou commercial, peu de Nobels
Avec un papa très inquiet que la petite devienne trop belle
Adolescente avec une meute de mâles en rut à repousser
Tu sais c'est inévitable, elle va beaucoup se faire baiser ta fille Klub des Loosers – La fin de l'espèce
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Morceau phare de l'album éponyme.
Ce titre n'est que tristesse et pessimisme, une inquiétude semble obséder Fuzati, ce dernier a un dégoût envers les humains et trouve la terre surpeuplée.
La froideur du discours qui semble d'une haine primaire et viscérale est nuancée par une écriture très soignée.
La prod est belle bien que les pleurs de Bébés laissent une boule dans le ventre et accentuent l'ambiance malsaine générale.
Artiste : Fuzati
Instru : Fuzati
Album : La Fin de l'Espèce (2012)
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Nous somme en 1975,
Renaud n'a que 23 ans.
Dans cette chanson Renaud critique en bloc tout ce qui fait la France et les Français de son époque.
Son propos : de Janvier à Decembre, de toute façon, les français sont des cons. Cette chanson donne libre cours à sa haine jubilatoire.
Il fait cette critique en s'appuyant sur des faits qui -selon lui- montrent la faiblesse de son peuple.
Ces faits sont triés en douze petits couplets pour douze mois ou quatre trimestres.
Il aurait été persécuté par ce système et se tiendrait aujourd'hui suffisamment en retrait pour pouvoir en étudier les rouages et pour pouvoir énumérer ses thèses sans rancoeur.
Une critique qui ne peut être qu'hyperbolique, bien que sa haine semble viscérale.
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Une conclusion plus que violente, voire même la plus hardcore de toute la chanson et le rap français.
Référence probable au foie gras : une spécialité culinaire française mangée pendant les fêtes populaire (réveillon, noël). On en fabrique en engraissant d'autres volailles que la dinde (oie, canard).
Il ya des conclusions bien plus hardcore dans plein de chansons (y compris de Renaud) ou de morceaux de rap. Je ne vois pas trop la nécessité de cette phrase.